Vous voilà dans la galerie souvenir du GOBE!!!
Toutes ces photos ont été prises lors des différentes activités du groupe.
Afin de simplifier la navigation, les photos sont triées par espèces. Si vous désirez voir uniquement les photos d’une espèce, des liens sont disponibles ci-dessous:
Gobemouche noir | Chouette de Tengmalm | Effraie des clochers | Faucon crécerelle |
Chouette hulotte | Torcol fourmilier | Voyages | Autres activités du Gobe |
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L’ensemble de ces photos sont la propriété de leurs auteurs. Merci de ne pas les utiliser sans leur demander la permission!
Oiseaux d’eau
Gobemouche noir – Ficedula hypoleuca
Femelle – V. Métraux – 2017
Une femelle de Gobemouche noir. Elle se différencie du mâle par une teinte généralement plus brune ainsi qu’entre autre par l’absence de tache blanche marquée sur le front.
Mâle – V. Métraux – 2017
Le mâle de Gobemouche noir. En comparaison de la femelle, il est nettement plus contrasté, la tache frontale est bien visible. Il faut néanmoins tenir compte des variations de colorations chez les mâles qui peuvent aller du brun au noir.
Jeune mâle – P.-A. Ravussin – 2017
Jeune mâle célibataire. La coloration relativement claire est caractéristique des jeunes mâles. Celui-ci venait régulièrement visiter le nichoir, quelque peu délaissé par un mâle polygyne.
Chouette de Tengmalm – Aegolius funereus
Tengmalm – 2018
Chouette de Tengmalm femelle durant le contrôle de son nid. Cet oiseau fait l’objet d’un suivi et de mesures de conservation par le GOBE. Photo: P.-A. Ravussin
Jeunes Tengmalm – P.-A. Ravussin – 2017
Quatre des rares jeunes Chouettes de Tengmalm à être passées dans nos mains cette année. Le moins que l’on puisse dire c’est que 2007 n’aura pas été une année d’abondance!
Tengmalm – R. Burri – 2017
Qui a dit que la Chouette de Tengmalm était reconnaissable à son air perpétuellement étonné ?
Tengmalm adulte – R. Burri – 2017
Un adulte. La coloration rouge autour du bec est due au sang des proies. Ce phénomène est très fréquent chez les adultes capturés.
Jeunes Tengmalm au nid – V. Métraux – 2017
Surpris?! Il semblerait bien que ces jeunes Tengmalm le sont! Chez une espèce normalement assez prolifique, 4 jeunes reste une ponte assez faible.
Deux jeunes Tengmalm – R. Burri – 2017
Deux jeunes Chouettes encore incapables de voler. Le duvet brun foncé est caractéristique de la Tengmalm.
Effraie des clochers – Tyto alba
Effraies – V. Métraux – 2017
Ces 4 jeunes effraies sont déjà âgées de près d’un mois. L’effraie est une espèce chez qui les jeunes mettent longtemps avant de s’envoler.
Effraies – V. Métraux – 2017
Une femelle d’Effraie. Cet individu est remarquable à sa coloration très foncée. Le coloration ventrale de l’Effraie peut également varier du blanc pur au roux en passant par le rose-saumoné.
Effraies – V. Métraux – 2017
Une femelle d’effraie étonnamment expressive! D’habitude, les individus gardent les yeux mi-clos semblant presque dormir.
Faucon crécerelle – Falco tinnunculus
Crécerelle – 2017
Dès l’âge de 10-15 jours, les plumes de vol commencent à pointer le bout de leur nez parmi le duvet.
Carnet de baguage – 2017
Eh oui! A l’ère de l’informatique, les notes sont encore prises sur un carnet tout ce qu’il y a de plus normal !
Bagues – 2017
Les bagues sont en aluminium et sont donc extrêmement légères. Différents calibres existent afin d’avoir un diamètre le plus adapté à la patte de l’espèce visée.
Crécerelles – 2017
Chose étonnante chez les oiseaux, le poids augmente très rapidement et peut, chez de gros jeunes, dépasser nettement celui de leurs parents!
Crécerelles – 2017
Parmi les mesures prises, la longueur du tarse demande une certaine habitude pour avoir une mesure fiable. Le tarse grandit assez vite chez les poussins et peut donner une bonne estimation de l’âge de celui-ci.
Crécerelle juvénile – V. Métraux – 2017
Ce jeune est âgé d’une dizaine de jours. Il porte encore le duvet qu’il avait lors de son éclosion. Les plumes lui permettant de voler ne vont pas tarder à pousser.
Chouette hulotte – Strix aluco
Hulotte – G. Skory – 2018
Une femelle de Chouette hulotte attrapée lors du contrôle de son nichoir. Contrairement à beaucoup d’autres rapaces nocturne, la hulotte a les yeux noirs.
Torcol fourmilier – Jynx torquilia
Torcol – J.-L. Zimmermann – 2021
Torcol nichant dans le nichoir JB_02 sous Tivoli à Bonvillars. Un des individus est bagué Y47803 à droite. (541598 188196)
Torcol – J.-L. Zimmermann – 2017
Un adulte posté sur une branche près de l’entrée de la cavité, le bec plein de nourriture pour les jeunes.
Jeune torcol – J.-L. Zimmermann – 2007
Un jeune sorti du nid lors de son baguage. Le plumage n’est guère différent de celui des adultes même s’il n’est pas complètement poussé.
Torcol – J.-L. Zimmermann – 2018
Plein les gencives!. Pas contentes les fourmis gambadant sur le bec de ce torcol!
Jeune torcol – J.-L. Zimmermann – 2007
Machine à dévorer les fourmis. Plus impressionnant que réellement dangereux pour le bagueur, ce bec sera une machine à dévorer les fourmis plus tard!
Femelle de torcol sur ses oeufs – J.-L. Zimermann – 2007
Une femelle sur ses oeufs dans un nichoir d’Onnens! Le côté mimétique du plumage apparaît bien.
Jeunes torcols à peine éclos – J.-L. Zimermann – 2007
Comme chez tous les oiseaux nidicoles, les jeunes naissent quasiment nus, à l’inverse des poussins nidifuges comme chez les laridés ou les limicoles.
Torcol – J.-L. Zimmermann – 2018
Adulte à l’entrée de son nid. On constate qu’il a choisi une cavité dans un vieux fruitier (qui se font trop rares de nos jours…)
Nichoir et torcol – J.-L. Zimmermann – 2007
Une image qui fait vraiment plaisir à voir! Les efforts de mise en place des nichoirs n’ont pas été inutiles!
Voyages et excursions
LE GOBE EN LAPONIE
COMPTE-RENDU D’UN VOYAGE ORNITHOLOGIQUE
25 JUIN – 3 JUILLET 2018
PREMIÈRE ÉTAPE : DESTINATION KILLOPÄÄ, AU CŒUR DES TUNTURRII
25 ET 26 JUIN
Vol sans histoire de Zürich à Helsinki, puis de Helsinki à Ivalo au cœur de la Laponie finlandaise. Sous un soleil radieux, nous prenons possession de nos bus et filons 40 km au sud au Fell Center Killopää, à l’entrée du Parc National Urho Kekkonen. La superficie de ce parc national, 2550 km2, correspond à 80% de la superficie du canton de Vaud ! On n’en verra donc qu’une toute petite partie.
Les premières grues cendrées se manifestent en vol déjà à côté de l’aéroport. A Killopää, au cœur d’une nature sauvage et préservée, nous nous installons dans nos chambres et découvrons la faune de la taïga présente jusque sous nos fenêtres : sizerin flammé, gobemouche noir, pluvier doré, jaseur boréal, mésange lapone et bien sûr rennes.

Le lendemain matin, nous suivons l’un des nombreux sentiers nature aménagés vers le mont Killopää, où nous avions observé les lagopèdes alpins et pluviers guignards en 2014. Le sentier quitte la taïga et s’ouvre sur la toundra dans ces collines appelées Tunturri. Malgré d’intenses recherches, pas de lagopède alpin, et le pluvier guignard ne sera que brièvement vu en vol, mais une observation mémorable de lagopède des saules. Durant plus d’une heure, nous avons tout loisir de le voir dans tous ses détails.


Le voyage se poursuit le long des sentiers, toujours entre taïga, toundra, marais et ruisseaux avec de belles observations de pinson du Nord, jaseur boréal, mésange lapone entre autres, …
DEUXIÈME ÉTAPE : DE KILLOPÄÄ À VESTRE JACOBSELV AU BORD DU VARANGERFJORD
27 juin
Le voyage reprend avec un déplacement en minibus de Killopää à Vestre Jacobselv, via Ivalo, Inari, le passage de la frontière finlando-norvégienne à Utsoki, puis en longeant la Tana jusqu’à Tana Bru. Un premier arrêt au bord de la route nous laisse sans voix. Depuis les fenêtres de la petite auberge Neljän Tuulen Tupa, où nous nous arrêtons, nous découvrons à côté des bouvreuils, pinsons du nord, sizerins et autres écureuils, un couple de durbec des sapins. Une première pour de nombreux participants !


Peu après le passage de Tana Bru, c’est un hibou des marais qui passe devant notre bus avant de se poser au bord de la route. L’arrivée au bord du Varangerfjord à Varangerbotn est également insolite, avec une attaque de faucon pèlerin sur une sarcelle d’hiver devant les affuts et les premiers contacts avec les pygargues à queue blanche, très abondants partout au bord du Varangerfjord, tout comme les buses pattues. Sur la mer, on découvre les premiers grands groupes de macreuses noires, de harles bièvres et d’eiders à duvet à côté de nombreuses autres espèces comme les plongeons arctiques et catmarins, le grèbe esclavon, l’huîtrier-pie. Lors d’un arrêt à Nesseby par marée basse, on découvre entre autres le phalarope à bec étroit et le grand gravelot. Lors de cette seule journée, on observera 61 espèces différentes d’oiseaux.
Nous nous installons pour deux nuits au VarangerTunet à Vestre Jakobselv. Un site où croule la bécasse des bois et où les gorgebleues à miroir, grive mauvis et sizerins flammés et blanchâtres nous accompagnent.
28 juin
La journée est consacrée à l’observation sur le Varangerfjord et en particulier dans la réserve de Vadsøya devant le port de Vadsø. Les contacts avec les pygargues à queue blanche sont réguliers. On en voit partout, jusqu’à 4 ensemble. Toujours autant d’oiseaux d’eau et de limicoles. Sur l’île de Vadsøya, les phalaropes à bec étroit, fuligules morillons, eiders à duvet, grives mauvis, linottes à bec jaune, et lièvres variables nous accompagnent.

Photo: P.-A. Ravussin
TROISIÈME ÉTAPE : DE VESTRE JACOBSELV À VARDØ EN PASSANT PAR EKKERØY
29 juin
La journée est essentiellement consacrée à l’exploration de la presqu’île d’Ekkerøy. Un hot spot du birdwatching dans le Varanger. C’est un site exceptionnel pour sa colonie de mouettes tridactyles. C’est également ici que l’on découvre les premiers alcidés nicheurs sur la falaise ou en vol juste devant. Les laridés ne sont pas en reste avec sterne arctique, goélands cendré, argenté, brun et marin. Des attaques de pygargues et de grands corbeaux sur la colonie et partout, les labbes parasites et à longue queue. Et en récompense finale, les gaufres à la crème acidulée du « muséum ».
C’est l’arrivée à l’hôtel à Vardø, qui héberge une colonie de sternes pierregarins sur son toit, ainsi qu’une nichée d’huîtrier-pies et la Harelde boréale juste devant le port. On y restera jusqu’au 2 juillet.
QUATRIÈME ÉTAPE : HORNØYA
30 juin
Un îlot de 0,4 km2, le point le plus à l’Est de la Norvège dans l’immense mer de Barents. C’est un des plus beaux sites de reproduction d’oiseaux marins, abritant une colonie de près de 80’000 oiseaux, dont 7’800 couples de macareux moines et près de 500 couples du rarissime guillemot de Brünich, mais aussi 15’000 couples de guillemot de Troïl, 500 de pingouin torda 1’300 de cormorans huppés et près de 7’500 de mouettes tridactyles. Les guillemots à miroir sont moins nombreux mais bien visibles au bas de la falaise sud-est. Au large, on peut voir le fulmar boréal. Découvrir Hornøya, c’est plonger dans une atmosphère unique et envoûtante au cœur de la vie sauvage. Les cris incessants, les parades, les vols et les allers et retours des oiseaux qui nourrissent, sans oublier l’odeur « marquante » du guano, créent une ambiance unique et inoubliable. Des scènes magnifiques et tragiques, comme ce cas de prédation du Goéland marin sur un macareux moine, ou encore les incessants harcèlements des Labbes parasites et à longue queue, resteront pour longtemps gravés dans nos mémoires.
Derrière la colonie d’oiseaux marins qui héberge guillemots de Troïl, de Brunich et à miroir, macareux moine, pingouin torda, cormoran huppé et mouette tridactyle, se trouve une très grande colonie de goélands nicheurs. La linotte à bec jaune, les pipits farlouse et à gorge rousse, partout des eiders à duvet avec leurs poussins, ainsi que des phoques gris complètent le spectacle.
Ajoutons que l’aménagement pour la visite de l’île est remarquable. On emprunte un sentier que l’on n’a pas le droit de quitter. Les oiseaux nichent juste à côté de nous en pleine confiance. On est véritablement parmi eux et avec eux.

Photo: V. Mettraux
CINQUIÈME ÉTAPE : HAMNINGBERG ET LA TOUNDRA DE VARDØ
1er juillet
Sur le chemin d’Hamningberg, on effectue un premier arrêt à Bardvikmyra, un excellent point de vue sur la toundra arctique, équipé d’un affut. Les nombreux étangs présents dans ce site hébergent des couples nicheurs de plongeons arctiques et catmarins, des couples de cygnes chanteurs et de hareldes boréales, des chevaliers et des courlis, ainsi que de nombreux labbes parasites et à longue queue. La route qui mène à Hamningberg, longe la côte en traversant des falaises rocheuses et des zones d’éboulis, alternant avec des secteurs herbeux et des plages : dépaysement garanti avec de brèves observations de faucon gerfaut et de très nombreuses troupes de canards (macreuses noires et brunes, harles, eiders, …). Le pygargue est abondant et régulier et parmi les passereaux, la linotte à bec jaune, le sizerin blanchâtre, le traquet motteux ou l’omniprésent pipit farlouse.
A Hamningberg, un village de pêcheur abandonné au bout de la péninsule du Varanger, à plus de 70° de latitude nord, une séance de seawatching nous permet d’observer les Fous de Bassan provenant de la colonie de Syltefjord, à côté de pratiquement tous les alcidés présents à Hornøya. Dans la baie abritée, au retour on découvre l’eider à tête grise.
Au retour, on décide de rechercher quelques espèces typiques de la toundra qui nous ont échappé jusque-là et après l’alouette hausse-col, on découvre avec bonheur les bruants lapons et les bruants des neiges dans un décor de rêve et par un temps presque estival. Depuis notre lieu de découverte du bruant des neiges, une exploration des collines alentours au télescope nous met en transe. Les cris des labbes attirent notre attention. Ils houspillent un gros rapace qui se pose près du sommet d’une colline. C’est un harfang des neiges se détache à près d’un kilomètre. Nous avons tout loisir de l’observer durant près d’une heure, sans quitter notre site, avant qu’il ne s’envole et disparaisse. Cette scène, sans doute le plus grand moment de ce voyage, nous contraint à respecter les termes d’un pari fou pris au début du voyage. Il était établi clairement qu’en cas d’observation du harfang, on devrait se baigner dans la mer de Barents. Ce qui fut fait le soir même, devant l’hôtel de Vardø, au grand étonnement des quelques badauds présents. Pour info, la température de l’eau est de l’ordre de 8°C le premier juillet à Vardø. Celle de l’air avoisinait également les 8°C et comme il n’y avait pratiquement pas de vent, la sensation était … on dira vivifiante.
SIXIÈME ÉTAPE : DE VARDØ À IVALO
2 juillet
Le voyage du retour débute par une longue observation de gorgebleues à miroir, de grive mauvis, de sizerins flammés et blanchâtres, ainsi que d’alouettes hausse-col dans la région de Vardø.
Le retour s’effectue ensuite sans encombre avec quelques arrêts réguliers en bord de mer, puis le long de la Tana avec un bécasseau de Temminck complétant agréablement notre pique-nique.
Un arrêt à Inari au musée des traditions sàmi (Siida), puis c’est le retour à Ivalo où nous passons la dernière nuit à l’hôtel Kultahippu. Après le repas du soir, on profite de gagner une des tours d’observation sur la route de Veskoniemi. Depuis cette tour, 2 couples de grues cendrées avec un jeune de l’année sont observés, quelques rennes sont présents, mais surtout, il y a au moins 7 Elans dont une femelle avec un jeune en train de téter. Sur la route du retour à l’hôtel, d’autres élans seront vus, certains de très près, pour notre plus grand bonheur.
Et quelques images en bonus!
Voyage du GOBE en Laponie: 25 juin – 3 juillet 2018 |
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Espèces observées ou entendues |
Ivalo-Killopää | Kiilopää | Ivalo-Vestre-Jak | Région Vadsø | Vadsø-Vardø | Hornøya | Région Vardø | Vardø-Ivalo |
Alouette des champs | ✓ | ✓ | ||||||
Alouette haussecol | ✓ | ✓ | ||||||
Barge rousse | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Bécasse des bois | ✓ | ✓ | ||||||
Bécasseau de Temminck | ✓ | |||||||
Bécasseau minute | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Bécasseau variable | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Bécassine des marais | ✓ | ✓ | ||||||
Bergeronnette grise | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |
Bergeronnette printanière | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Bernache cravant | ✓ | |||||||
Bernache nonnette | ✓ | |||||||
Bouvreuil pivoine | ✓ | |||||||
Bruant des neiges | ✓ | |||||||
Bruant des roseaux | ✓ | ✓ | ||||||
Bruant jaune | ✓ | |||||||
Bruant lapon | ✓ | ✓ | ||||||
Buse pattue | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Canard colvert | ✓ | ✓ | ||||||
Canard pilet | ✓ | ✓ | ||||||
Canard siffleur | ✓ | ✓ | ||||||
Chevalier arlequin | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Chevalier gambette | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Chevalier sylvain | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Cincle plongeur | ✓ | |||||||
Combattant varié | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Cormoran huppé | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Corneille mantelée | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Coucou gris | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Courlis cendré | ✓ | |||||||
Courlis corlieu | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Cygne chanteur | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Durbec des sapins | ✓ | |||||||
Eider à duvet | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Eider à tête grise | ✓ | |||||||
Étourneau sansonnet | ✓ | |||||||
Faucon crécerelle | ✓ | ✓ | ||||||
Faucon émerillon | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Faucon gerfaut | ✓ | ✓ | ||||||
Faucon pèlerin | ✓ | ✓ | ||||||
Fou de Bassan | ✓ | |||||||
Fuligule milouinan | ✓ | |||||||
Fuligule morillon | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Fulmar boréal | ✓ | |||||||
Garrot sonneur | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Gobemouche noir | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Goéland argenté | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Goéland brun | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Goéland cendré | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Goéland marin | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Gorgebleue à miroir | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Grand Corbeau | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Grand Cormoran | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Grand Gravelot | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Grèbe esclavon | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Grive draine | ✓ | |||||||
Grive litorne | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |
Grive mauvis | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ |
Grive musicienne | ✓ | ✓ | ||||||
Grue cendrée | ✓ | ✓ | ||||||
Guillemot à miroir | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Guillemot de Brünnich | ✓ | |||||||
Guillemot de Troïl | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Harelde boréale | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Harfang des neiges | ✓ | |||||||
Harle bièvre | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Harle huppé | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Hibou des marais | ✓ | ✓ | ||||||
Hirondelle de fenêtre | ✓ | |||||||
Hirondelle de rivage | ✓ | |||||||
Hirondelle rustique | ✓ | |||||||
Huîtrier pie | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Jaseur boréal | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Labbe à longue queue | ✓ | ✓ | ||||||
Labbe parasite | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Labbe pomarin | ✓ | ✓ | ||||||
Lagopède des saules | ✓ | |||||||
Linotte à bec jaune | ✓ | ✓ | ||||||
Macareux moine | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Macreuse brune | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Macreuse noire | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Merle noir | ✓ | |||||||
Mésange charbonnière | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Mésange lapone | ✓ | ✓ | ||||||
Moineau domestique | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Mouette tridactyle | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Oie cendrée | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Phalarope à bec étroit | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Pie bavarde | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ |
Pie-grièche grise | ✓ | |||||||
Pigeon biset dom. | ✓ | ✓ | ||||||
Pigeon ramier | ✓ | |||||||
Pingouin torda | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Pinson du Nord | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Pipit à gorge rousse | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Pipit farlouse | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Pipit maritime | ✓ | ✓ | ||||||
Plongeon arctique | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Plongeon catmarin | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||||
Plongeon imbrin | ✓ | |||||||
Pluvier doré | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Pluvier guignard | ✓ | |||||||
Pouillot de Sibérie | ✓ | ✓ | ||||||
Pouillot fitis | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Pouillot véloce | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Pygargue à queue blanche | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Rougequeue à front blanc | ✓ | ✓ | ||||||
Sarcelle d’hiver | ✓ | |||||||
Sizerin blanchâtre | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Sizerin flammé | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |
Sterne arctique | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ||
Sterne pierregarin | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Tarier des prés | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Tarin des aulnes | ✓ | |||||||
Tournepierre à collier | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Traquet motteux | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |
Vanneau huppé | ✓ | ✓ | ||||||
Verdier d’Europe | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | |||
Mammifères |
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Dauphin sp | ✓ | |||||||
Ecureuil roux | ✓ | ✓ | ||||||
Elan | ✓ | |||||||
Lemming de la toundra | ✓ | |||||||
Lièvre variable | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Marsouin | ✓ | |||||||
Phoque gris | ✓ | ✓ | ✓ | |||||
Renne | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ | ✓ |
Sortie de Noël du GOBE
Sempach
16 décembre 2017
Ciel d’encre et bruine s’étaient donnés le mot pour accueillir notre délégation du GOBE au bord du lac de Sempach, rejoins par quelques membres du comité du COSNY (Cercle Ornithologique et de Sciences Naturelles d’Yverdon). Une telle météo était parfaite pour découvrir le centre de visite de la Station ornithologique de Sempach! Même pour des ornithologues oeuvrant depuis des décennies sur le terrain pour la sauvegarde des oiseaux entre le sommet du Suchet et la plaine de la Broye – et au-delà – cette visite offrit quelques découvertes. Ainsi, après avoir été engouffrés dans un oeuf géant, nous avons suivi le parcours de survie de nos cousins ailés. Des oeufs, os, plumes, squelettes et modèles exposés, expliqués, comparés et devinés, des séquences expliquant l’évolution passée et future de nos paysages. Notre attention fut notamment interpellée par un buffet gastronomique chatoyant de couleurs variant du vert mouche au brun vert de terre en passant par le rouge des baies de sorbier.
Sur ce, nous nous décidâmes à nous diriger vers le centre de la bourgade historique de Sempach où un plat de poissons du lac nous fut servi dans un restaurant de la place. Après une balade digestive le long du lac comprenant l’observation d’un groupe d’une centaine d’oies cendrées, nous reprîmes le train pour la Suisse occidentale en se remémorant les impressionnantes images du film de Marc Tschudin projeté au centre de visite.
Chantal Guggenbühl
Autres activités